Plume et pinceau (1)
Ce qu'il vous faut
Voici le matériel nécessaire pour profiter pleinement de ce module :
Pas de matériel supplémentaire
nécessaire aujourd’hui
L'Observatoire
Je voudrais aborder maintenant deux techniques de dessin : la plume et le pinceau. Vous allez découvrir leurs possibilités et les principaux écueils à éviter quand vous les utiliserez. Si vous accrochez bien avec l’une ou l’autre, vous pourrez certainement créer des variantes personnelles ou encore les mélanger subtilement.
Lorsque vous dessinez au crayon, vous ne vous contentez pas d’ombrer les différentes zones de votre dessin pour donner les tons.
Vous dessinez dès le départ la forme, on pourrait presque dire le contour, avec un trait modulé avant de poser des valeurs.
Si vous omettez volontairement de donner des valeurs, c’est un dessin en lignes et non en masses que vous réalisez.
Mais il y a des cas où la frontière devient ténue car rien n’empêche un dessin en masses d’avoir de belles ponctuations au trait, ni un dessin en lignes d’avoir des tons par juxtaposition de lignes ou de hachures par exemple.
Sans revenir trop longuement sur cette question, il faut bien prendre conscience que la technique que vous utiliserez sera prépondérante dans le résultat. Même si vous situez votre choix à la frontière d’un des deux mondes, veillez à ce qu’elle penche clairement d’un côté ou de l’autre. Un dessin dans lequel on ne sent pas qu’un choix a été fait dans ce domaine est souvent décevant.
Les techniques de la plume et du pinceau permettent pourtant à deux univers de se rencontrer.
Dans un instant, je l’espère, tout sera clair.
Atelier Découverte
Les effets de la pression
Quand vous dessinez au crayon, vous pouvez jouer sur les teintes en appuyant plus ou moins fortement votre mine sur le support.
Vous pouvez obtenir une augmentation d’intensité de la nuance par un passage supplémentaire ou même plusieurs.
Pour moduler le trait en épaisseur, vous devez orienter le crayon de manière variée et le faire tourner entre vos doigts.
Mais bien souvent la teinte se trouve modifiée du même coup sans que l’on puisse facilement maîtriser simultanément l’épaisseur du trait et sa tonalité. Ce n’est pas forcément un problème si cela “colle” avec l’objectif retenu.
Au pinceau ou à la plume, pour moduler le trait, il faut s’y prendre autrement. Appuyer ne fait pas forcément changer la tonalité. Appuyer modifie la forme de la pointe élargit le trait et augmente le volume d’eau ou d’encre qui s’écoule de l’outil choisi.
Pression sur la plume
La plume classique permet une variation progressive et relativement lente de l’épaisseur du trait. Vous vous rappelez peut-être les pleins et les déliés si vous avez connu l’écriture à la plume en maternelle.
Vous utilisiez alors la plume “Sergent Major”.
La plume ne permet pas facilement les allées et venues. Les hachures sont mieux réalisées par des traits parallèles toujours dirigés dans le même sens. La plume accroche très vite lorsque vous remontez du bas vers le haut. Le choix du papier devient dès lors un élément important. Moins il a de grain, plus il est glacé, mieux vous glisserez et moins vous accrocherez. Dessiner à la plume demande un peu d’organisation et je vous recommande de commencer par dessiner sur du bristol ou un autre papier assez lisse.
J’ai dit que la plume d’écriture Sergent Major, avec laquelle on peut également dessiner, permettait des variations d’épaisseur lentes. C’est par opposition aux variations « instantanées » d’une autre sorte de plume dont je vais vous montrer les possibilités un peu plus loin.
La plume d’oiseau
La plume d’écriture fut longtemps taillée dans une plume animale. C’est bien ce qui explique son nom.
La plume classique en métal s’est inspirée des caractéristiques de la plume d’oie, de cygne ou d’autres gros volatiles. Il s’agit d’un tube qui sert de réservoir prolongé par une pointe fendue dont les deux côtés s’écartent plus ou moins facilement selon la dureté ou l’élasticité du métal choisi pour la fabriquer.
Les plumes en métal n’ont fait leur apparition qu’au milieu du XIXème siècle.
Une plume doit être souple mais pas molle. Quand vous la choisissez, elle doit s’ouvrir mais pas s’affaisser sous la pression entre le pouce et l’index.
Les deux pointes doivent être bien alignées ce qui se voit parfaitement de profil.
Il existe de petits porte-plumes pour le dessin équipés de plumes Atome. Elles sont petites mais bien adaptées au croquis à la plume. La plume se range dans le corps du porte-plume et ne craint plus d’être endommagée dans votre trousse ou votre plumier.
Si vous n’aimez pas les petits porte-plumes dont le corps est très fin, utilisez les plumes Atome vendues au détail et coincez-les dans un porte-plume de dimension normale.
Danger : Accroc
Avec les plumes à dessin, ne changez pas trop l’orientation du trait. Il faut suivre la forme mais la plume doit travailler dans le sens descendant. Si vous appuyez très légèrement, vous pourrez remonter à “contre courant” mais je vous recommande de penser à modifier de préférence l’orientation de votre papier. Les dessins à la plume ne sont généralement pas très grands, il est donc assez facile de tourner autour du sens des formes plutôt que de faire une belle éclaboussure, généralement irrattrapable.
Les plumes à calligraphier
Si, la pression sur votre plume varie, vous créez un plein ou un délié, mais il est parfois nécessaire de maintenir une épaisseur constante ou du moins de pouvoir la maîtriser par un autre moyen que la pression.
On a créé pour cela la plume à palette. C’est une plume qui se termine par un petit nez plat rectangulaire, circulaire ou ovale. L’encre passe dessous et le trait prend exactement le diamètre de cette palette.
Si la forme est ovale, un changement de direction sur le papier fait varier l’épaisseur du trait.
On peut passer d’un trait fin à un trait épais rapidement avec des plumes à calligraphie. Contrairement à la plume d’écriture anglaise avec laquelle on obtient des pleins et des déliés par changement de pression, la plume à calligraphier fonctionne autrement.
La plus classique d’entre elles a un bec plat.
En orientant ce bec de manière constante, et en changeant la direction du trait, on passe d’une épaisseur de trait à une autre avec ou sans transition.
Dans un mouvement angulaire, il n’y a pas de transition,
dans un mouvement circulaire, il y a une parfaite progression.
Le bambou ou le calame permettent aussi des effets de modulation importants.
La pression sur le pinceau
Un pinceau est une touffe de poils serrés entre eux par une virole ou par un cerclage de fil de fer. Ils peuvent être ensuite taillés pour donner des pinceaux de formes variées.
Les plus beaux pinceaux sont ceux dont la forme dépend de l’agencement des poils. Le nec plus ultra étant le pinceau dont chaque poil, plus fin à sa pointe qu’à sa racine est rangé « à la main » à côté du suivant afin de former une pointe qui soit totalement naturelle.
L’effet principal d’une pression sur un pinceau, c’est la modification de sa forme.
Rien n’est plus difficile à prévoir que la modification de profil d’un pinceau sous la pression. Ces différences de formes s’ajoutent aux différences d’angle du pinceau avec le support. Il faut un certain temps pour être à l’aise avec tout cela.
Les pinceaux à lavis
Ils sont ventrus et peuvent retenir beaucoup de liquide. Vous les utiliserez de préférence avec une palette à godets.
Les lavis repris sur un dessin à la plume (ou l’inverse)
On peut passer un lavis sur un dessin à la plume pour lui donner plus de force. Veillez à avoir utilisé de la véritable encre de Chine si vous voulez mélanger ces deux techniques. Elle ne se dilue plus dans l’eau, une fois sèche, ce qui n’est pas vrai de l’aquarelle que vous pourriez prendre pour obtenir un effet de lavis. Le lavis fera bientôt l’objet d’un module entier.
Le dégradé au pinceau
Dégrader au pinceau n’est pas spécialement difficile. Il suffit d’incliner son papier et de partir du haut avec la teinte la plus foncée tout en diluant à chaque fois que vous rechargez le pinceau. Dans le bas de cette descente de couleur, il faut garder un ourlet humide et bombé pour ne pas avoir de traces visibles dans le dégradé.
L’aplat au pinceau
Il s’obtient comme le dégradé mais en ayant bien préparé à l’avance le ton voulu en quantité suffisante. Faute de quoi la recharge du pinceau en encre ou en eau donnerait une variation fatale à votre aplat.
Les hachures et les tonalités à la plume
En dessinant à la plume, variez l’orientation de vos hachures comme le sujet varie dans ses plans. Cet exemple de rocher est une illustration assez parfaite de ce qu’il faut tenter de faire avec une plume. Le contraste est fort et les matières ne sont pas trahies.
Quelques outils supplémentaires
Il y a encore des plumes ou des outils spécifiques destinés à réaliser un certain type de travail. C’est le cas des quelques exemples qui suivent.
Les plumes tubulaires
C’est bien un abus de langage que de parler de plumes tubulaires.
Il ne reste de la plume que le principe d’un filet d’encre qui s’écoule à partir d’un réservoir. Mais le réservoir est devenu une cartouche, le corps ressemble à celui d’un stylo et la régularité du trait est presque aussi belle que celle que donne un tire-ligne.
La marque la plus connue est Rotring. Les architectes et les dessinateurs industriels en sont des inconditionnels.
Le tire-ligne est son aïeul. Plus joli et plus précis, il tombe pourtant en disgrâce depuis quelques années.
Les pinceaux fins et les feutres-pinceaux
Les pinceaux fins ou même les feutres-pinceaux que l’on réussit à fabriquer aujourd’hui s’apparentent à la plume. On peut moduler le trait comme on l’entend sans avoir besoin de recharger d’encre le pinceau. Toutefois vous serez limité à la teinte de ce feutre-pinceau alors qu’avec un véritable pinceau, vous pourrez jouer sur les tonalités.
Les feutres pinceaux, permettent de jolies modulations mais uniquement dans les différentes teintes du fabricant.
On peut toutefois juxtaposer les teintes.
Ils vous évitent de travailler avec des palettes de godets dans lesquels préparer des teintes harmonieuses à l’avance est assez délicat.
Les brosses à sec
On peut aussi dessiner avec des brosses asséchées volontairement. Trempez votre brosse dans l’encre puis séchez-la sur un chiffon.
Pendant quelques instants, la brosse peut déposer une sorte de hachurage permettant de donner des tons. Cette technique qui n’est pas facilement précise n’est plus très en vogue.
Il y a en effet des modes et celle-ci me semble désuète. Mais si vous vous sentez l’âme « vintage », pourquoi ne pas s’y essayer ?
Les pointes sèches
Il y a plusieurs types de pointes sèches. Vous avez vu que la carte à gratter se travaille à la plume à vaccin ou à la pointe sèche.
On peut trouver de belles applications de la pointe sèche dans les techniques de gravure sur cuivre.
Atelier Pratique
Tracez au crayon des petites surfaces de 4 par 5 centimètres de côté, environ.
Tracez également quelques lignes au crayon pour conserver la direction générale du lignage que vous prévoyez. Vous gommerez à la fin les tracés au crayon quand l’encre sera bien sèche.
Essayez ensuite ces traités à la plume. Essayez aussi ces mêmes textures au pinceau fin ou à la plume tubulaire. Certains feutres permettent aussi un trait assez constant.
Il est bon de s’exercer à hachurer à la plume. C’est d’ailleurs le seul moyen de rendre des valeurs à la plume. Cela semble une évidence, mais notez bien que, dans un premier temps, les tons sont obtenus par juxtaposition de fines lignes que vous serrerez plus pour les zones sombres et moins pour les parties claires.
Voici un ton plutôt foncé. Remarquez qu’il n’est pas nécessaire que les lignes soient ininterrompues. Au contraire en reprenant en cours de route un trait arrêté, on crée ce petit décalage qui anime la surface et la rend vivante. Vous pouvez prévoir par quelques courbes faites au crayon les endroits où vous interromprez les lignes ou laisser le hasard travailler pour vous.
Celui-ci est plus clair. Notez que les hachures ne sont pas faites en une ligne ininterrompue non plus. L’interruption est toujours reprise avec un petit décalage mais il n’y a pas de pleins ou de déliés, pas de modulation de l’épaisseur de trait. La plume utilisée est une plume à dessin assez dure.
Ce dégradé est obtenu en jouant sur deux moyens. Le premier est l’espacement des lignes, le second leur épaisseur. Mais le premier moyen aurait été suffisant. Dans le cas d’un dégradé très fort, le simple espacement des lignes dans la partie claire serait insuffisant. Il y a lieu de passer à une plume plus fine pour pouvoir garder un espacement normal. Au-delà, la teinte ne se fait pas dans l’oeil et le lignage devient une convention graphique au lieu d’être une valeur optique.
Les tons peuvent aussi être obtenus par des séries de petits traits orientés de manière plus aléatoire. Dans ce cas les petites hachures resteront très courtes. Ici encore on joue sur la densité de ces séries et sur la dureté de la plume.
Une autre manière de procéder consiste à conserver une orientation commune à toutes les lignes mais à en varier l’épaisseur sur un même alignement. Pour changer d’épaisseur en cours de ligne, ne commettez pas l’erreur pour économiser un changement de plume de tracer toutes les lignes fines puis de les raccorder. Vous n’avez que peu de chance d’obtenir un résultat propre.
Avoir plusieurs porte-plumes sous la main est le seul bon moyen.
Méfiez-vous également pour une surface uniforme de l’effet de moiré indésirable que vous obtiendrez si vous alignez tous vos raccords. Dans certains cas, pour accentuer une matière tissée par exemple vous pouvez mettre cet effet à votre profit, mais il faut savoir où vous voulez aller.
Les hachures peuvent aussi épouser des formes courbes et s’enrouler à la manière d’empreintes digitales. Pour habiller et retranscrire les éclairages des objets courbes et brillants, vous pourrez jouer sur l’espacement et créer des lumières ou des brillances. Pour certains tissus également, cette méthode accompagne mieux les plis que toute autre. C’est, malgré toutes ses qualités, l’une des plus difficiles à réaliser. Un tracé préalable au crayon est indispensable pour avoir une référence au cours du lignage.
Le terme de hachures sous-entend généralement que les lignes se croisent pour donner des tons. Il n’est pas nécessaire de croiser complètement chaque couche. L’orientation des lignes de chaque passage peut à la fois s’interrompre et, de rectiligne, s’incurver légèrement sans choquer l’oeil, bien au contraire.
Il peut également y avoir des parties plus claires que d’autres créant matières et lumières dans la surface. Dans cet exemple, la plume a été changée également en cours de travail.
On peut volontairement faire sentir un “sens” principal dans une série de hachures croisées. Ici le passage horizontal reste dominant. Il est adapté à des parties du dessin où l’on veut faire sentir l’horizontalité. Une partie de paysage, une construction humaine, une surface d’objet plan.
On peut croiser ou serrer le trait jusqu’à obtenir un noir intense. Ici les quelques interstices entre les hachures se lisent comme des points clairs. C’est presque une inversion de système.
Essayez également d’aller jusqu’à une teinte uniforme, foncée et dans laquelle il est presque impossible de déceler le sens des lignes. Je dis presque car il serait dommage d’aller jusqu’à masquer complètement la présence d’une structure directionnelle dans les surfaces foncées. Sans cela, elles deviennent des paquets noirs et ne s’harmonisent plus au reste.
Pour dessiner des formes, des tons ou évoquer les structures capricieuses de la nature, vous pouvez laisser votre plume traduire directement les tons. C’est ainsi que vous vous adapterez le mieux aux arbres, à la nature et au paysage en général, mais aussi au croquis de personnages.
Evitez toujours les hachures croisées à angle droit et le fameux effet cage à poules.
A vous d’essayer maintenant sur du bristol. Vous pouvez aussi récupérer des papiers lisses dans de nombreux emballages pour faire vos essais.
Rodage et Lavage
Une plume neuve doit se roder. Il faut qu’elle ait fait quelque temps de travail pour bien fonctionner. Essayez de trouver l’orientation et l’inclinaison de porte-plume qui vous convient. Conservez cet angle et tracez des parallèles toujours dans le même sens. La plume doit légèrement s’user à la pointe pour être agréable sous la main.
Il existe aussi des blocs de polissage mais l’achat n’en vaut pas la peine pour cette seule raison.
Quand elle est neuve, vous pouvez frotter délicatement la plume dans une éponge grattante de cuisine. On peut aussi la passer très rapidement sous la flamme d’un briquet pour brûler le film de protection qui la recouvre quand elle est neuve. Attention de ne pas insister, ce qui déformerait la plume.
Curiosités
Plumes et porte-plumes particuliers
Un porte plume en bambou dont la moitié du corps, après l’avoir dévissé, sert de capuchon et de protection pour la plume
Typo à la plume faite par mon grand-oncle en 1923
Tout ce catalogue pour son studio de dessin publicitaire était réalisé avec des lettres dessinées à la main. La régularité des caractères est époustouflante !
Dessins à Faire
A vos crayons !
Vous trouverez toujours des dessins à faire ou des exercices à votre disposition dans cette rubrique. Les modèles sont aussi des documents qui vous permettent des expériences supplémentaires.
Vous pouvez uploader votre dessin dans les galeries. Vos dessins seront vus par les autres membres et les tuteurs qui pourront, dans certains cas publier une correction s’ils jugent qu’elle peut être utile à tous. Mais cela n’est pas systématique.
Dessins à Faire et à conserver ou publier
DAF-131-1
Prenez un modèle dans l’onglet Documents et essayez de l’interpréter à la plume ou au pinceau. Recadrez le sujet comme vous l’entendez.
Dessins facultatifs à conserver
FAC-131-1
Rodez une plume ou deux et faites des surfaces carrées avec diverses structures et divers lignages ou hachures.
FAC-131-2
Faites encore des surfaces hachurées mais dessinez-en le périmètre à l’avance avec des formes non géométriques. Conservez de petites surfaces de quelques centimètres carrés.
Prochainement
Votre prochain module
Encore des plumes et surtout des pinceaux pour compléter le module précédent qui ne vous avait donné qu’un bref aperçu de ce que l’on peut tirer des instruments à poils et à plumes.
Avec ce module, un Bonus pour découvrir l’art et la manière d’écrire au XVIIIème Siècle.
Matériel à prévoir
Voyez dans cette rubrique le matériel dont vous aurez besoin prochainement.
Ceci vous permet de vous organiser.
Pas de nouveau matériel
à prévoir dans les prochains jours…
Pour l’instant le matériel déjà en votre possession est suffisant pour les prochains modules. Veillez simplement à le renouveler et le garder en bon état. Vous serez prévenus dès qu’il faudra vous équiper de matériel supplémentaire mais vous aurez largement le temps de vous le procurer.
Correction
Correction générique du DAF-208-1
“Attitudes”
Il est plus intéressant que les corrections soient visibles après que vous ayez eu le temps de finir votre DAF. Voilà pourquoi vous trouvez ici la correction d’un DAF antérieur.
Conservez un double de vos images chez vous, c’est plus sûr !
Ne mettez ici que les images de vos DAF ou de vos FAC
Vous devez être connecté pour soumettre une image pour le concours. Connexion ouinscrivez-vous.
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Ne mettez ici que les dessins destinés à la Galerie des Membres.
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En principe vous trouvez ici tous vos dessins mis en galeries ou en attente de validation.
Il sont aussi accessibles dans une galerie plus confortable dans votre menu Espace Membre/Ma Galerie Perso
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