
L’eau (2)
Ce qu'il vous faut
Voici le matériel nécessaire pour profiter pleinement de ce module :
Pas de matériel supplémentaire
nécessaire aujourd’hui
L'Observatoire
Le premier module sur l’eau vous avait déjà donné l’occasion de voir des étendues d’eau. Mais je vous avais proposé de vous intéresser plutôt aux eaux calmes, aux reflets et aux légères frisures qu’aux importantes masses d’eau. L’eau dans ses mouvements les plus puissants se comporte de manière complexe pour l’oeil et la rapidité de ses mouvements en rend l’étude assez délicate. Heureusement, la répétition des mouvements vient au secours du dessinateur.
L’eau en masse
La mer, les vagues…
Avec la mer un phénomène naturel va vous donner un peu de fil à retordre, celui de la formation des vagues. Ce n’est pas que la mer soit tellement difficile à dessiner, mais il faut s’y préparer un peu. Le dessin de la mer en mouvement est passionnant, à tel point que certains dessinateurs, peintres ou aquarellistes y ont consacré leur vie entière. Allez-vous également vous laisser envoûter ?
L’avantage de la préparation nécessaire, c’est qu’on peut s’y entraîner chez soi. Pas besoin de se trouver sur une plage ou sur un bateau.
On aborde avec le paysage de mer deux types de sujets distincts. Les paysages en pleine mer et ceux du bord de l’eau. Les vagues n’y ont pas du tout le même comportement. Le fond marin, plat ou accidenté, la hauteur d’eau, la présence de rochers, modifient considérablement l’aspect et les mouvements de l’eau. On rencontre plus rarement des illustrations de scènes sous-marines, mais j’en dirai tout de même un mot rapide à la fin de ce module.
Dans les scènes de pleine mer, il est indispensable que la composition soit animée. Par exemple par l’insertion de vagues importantes, de rochers ou d’oiseaux au premier plan. On peut aussi placer des bateaux, des icebergs et toujours des oiseaux dans les plans plus reculés. Il n’y a pas de règle absolue dans ce domaine, mais il faudra quelque chose qui vienne intéresser l’oeil, et si possible le captiver.
Sans cela, même avec une mer formée, la ligne d’horizon à laquelle vous n’échapperez pas sera désespérément plate et sans intérêt visuel.
Les bateaux sont toujours de beaux sujets. En particulier le charme des bateaux à voiles qui fait toujours recette, mais demande de connaître les pièges classiques dans lesquels on risque de tomber. Il est question de ces écueils dans la partie dessin d’objets. Le plus fréquent, gonfler les voiles de manière différente pour chaque bateau, comme si l’orientation du vent changeait selon les parties du dessin.
Je vous emmène au bord de la mer, dans l’Atelier Découverte…
Atelier Découverte
Pour bien dessiner les vagues, il faut procéder avec organisation.
tableau de Homer
Observez la mer. Le vent pousse l’eau qui se forme en vagues. Ces vagues ont une vie propre. Elles montent et grossissent en se “chargeant” de plus en plus d’eau. Une crête se forme.
Hokusai laisse son imagination extraire de l’écume des oiseaux blancs
Cette crête s’amincit puis se courbe et retombe en formant de l’écume. Cette transformation intervient dans un laps de temps qui dépend de la force du vent et de certains courants. Mais l’écume d’une vague se forme ici tandis qu’une autre vague naît là.
Il y a donc de fortes chances que vous soyez amené à représenter chacun des états de la vague sur votre dessin. Toute la maîtrise consiste à bien répartir ces différentes phases avec logique et naturel. Si vous êtes réellement sur le motif, tout change finalement trop vite pour saisir l’instant. Il faut donc saisir le principe.
La nature offre de nombreux exemples d’organisation
La nature nous offre-t-elle une organisation parfaite ? Non, pas vraiment et c’est justement encore plus intéressant grâce à ces imperfections.
Lavis, Victor Hugo
Il ne suffit pas de dessiner la même vague 5 fois au premier plan, puis de recopier ce rang derrière en un peu plus petit et ainsi de suite jusqu’à l’horizon. Cela donnerait un effet d’écailles de poisson, une espèce de papier peint ou de tissu imprimé auquel toute vie manquerait. Victor Hugo dessinait beaucoup. Ses lavis sont remarquables et d’une authenticité parfaite. Ne peut-on, malgré cela, déceler dans cette mer une rigidité mécanique ?
Alors comment faire pour être dans le vrai ?
Pour comprendre la formation des vagues, il ne faut pas se placer trop haut.
En vous plaçant trop haut vous vous perdez l’intérêt de la structure de l’eau. La ligne d’horizon devient d’un mortel ennui. Mais il y a une chose à observer en étant perché.
Le vent forme de longues vagues parallèles. Ces vagues dessinent des lignes qui fuient vers un point unique. Lequel ?
En aucun cas le point principal. Ce point est le point de fuite des diagonales. Voici enfin une application pratique du dallage en perspective.
Vous voulez des vagues bien réalistes ? Utilisez le point de fuite des diagonales. Une petite révision vous attend dans l’Atelier Pratique.
Cette observation ayant été faite, placez-vous beaucoup plus bas, vous avez tout à y gagner.
Les vagues sont réparties de manière assez uniforme sur toute la surface. Celles qui présentent une crête ont une silhouette triangulaire.
Comme elles se placent plus ou moins en quinconce avec les creux situés entre deux vagues, la forme visible est un losange. Plusieurs échelles différentes cohabitent comme dans les images fractales. Remarquez les grands losanges qui en contiennent de plus petits. A l’intérieur des petits, il y en a à nouveau. Le fractionnement de l’eau en facettes tend vers l’infini.
Si le vent est très fort, la vague monte et le losange est étroit…
… si le vent est régulier la vague n’est plus qu’une ondulation et le losange est beaucoup plus large.
Comme les reflets d’une eau faiblement agitée en forme de fuseaux.
Si le fond ou des courants interviennent et modifient l’évolution en limitant l’accumulation de la masse d’eau, la vague peut devenir longue sans prendre de hauteur.
Elle forme alors des rouleaux.
Transparence et ombres
L’eau, même en pleine mer est transparente. Ce n’est pas parce que vous n’en voyez pas le fond qu’elle est opaque.
Il n’y aura donc pas d’ombres portées d’une vague sur l’autre ou sur elle-même lorsqu’elle s’enroule. Du moins elle sera très légère puisque la vague laisse filtrer une partie de la lumière et l’ombre affaiblie traversera l’eau sur laquelle elle se dépose. L’écume, elle, reçoit de fortes ombres portées.
Il doit y avoir suffisamment de contraste pour donner de la consistance à la mer.
N’hésitez pas à utiliser des noirs. On est souvent impressionné par l’idée de transparence de l’eau ce qui nous empêche de monter les valeurs. C’est une erreur.
Vous trouverez les blancs purs dans l’écume et les reflets du soleil. Les noirs dans l’épaisseur du pied des vagues qui sont parfois bleu nuit. Sentez les facettes de ces volumes d’eau et nuancez-les en préservant des teintes franches.
Pas de mer qui se respecte sans bateaux
Rappelez-vous si vous dessinez de mémoire que les bateaux sous voiles doivent être dans une configuration qui corresponde à la direction du vent.
Si les voiles se gonflent à gauche, le vent vient de la droite et tous les bateaux gîteront vers la gauche. L’écume se trouvera du côté où les vagues cassent et pas l’inverse.
Gonflement des voiles de l’arrière vers l’avant un peu surprenant sur ces deux bateaux naviguant en direction opposée.
Au premier coup d’oeil, on ne voit pas toujours ce genre d’erreur mais comme vos dessins de mer et de bateaux intéresseront des personnes qui apprécient le milieu marin, ils ne manqueront pas de relever ces incongruités d’un travail d’atelier.
Sur ce tableau-ci, le vent souffle de manière plus crédible.
Lorsque l’on travaille de mémoire ou de manière créative, il faut rester cohérent sur les aspects physiques, vous le savez. Dans une composition créée de toutes pièces, l’imagination, qualité appréciable qui fait partie des talents recherchés par vos admirateurs, ne peut-être totalement débridée. Faute de quoi elle se retournera contre vous. Un simple détail de cet ordre vous relèguera au rang d’amateur. Pas bon !
Le bord de mer
Il y a beaucoup plus de peintres et de dessinateurs tentés par les vues côtières.
Cela se comprend car, outre le fait que s’installer sur un bateau pour dessiner ne soit pas simple, le bord de l’eau présente de nombreux avantages en matière de composition et de centres d’intérêt.
Regardant vers le large depuis la côte, vous pouvez exploiter de nouveaux sujets agréables : les bras d’une anse ou un premier plan.
Dans une anse un tant soit peu importante, la côte revient vers le centre du paysage au loin.
Cette côte vient briser la ligne d’horizon pour le plaisir de l’oeil.
Parfois une crête de roche peut la prolonger de façon agréable.
Ce type de côte au loin est assez facile à dessiner. Il faut en tracer la découpe sur le ciel de façon naturelle et ne pas “inventer”, ne pas mécaniser les angles qui se découpent sur le ton généralement clair du ciel.
Attention si vous inventez en partie votre paysage à ne pas faire une avancée de part et d’autre, ou sinon, veillez à ce qu’elle ne présente aucune symétrie qui dérangerait. Sur le plan du parcours de l’oeil, si une anse est trop fermée, le regard part du premier plan, sort par le passage clair et l’ennui s’installe ausitôt.
Gros plans
Les premiers plans de sable, de roche ou de galets où l’eau vient mourir présentent un intérêt.
D’abord, contrairement à la pleine mer, l’eau varie davantage entre le lointain et le premier plan.
Elle reste calme un instant en petites flaques qui prennent les reflets du ciel.
Elle se brise sur la côte et intensifie les couleurs en s’étalant sur le sable ou la roche humide.
L’écume laissée par chaque vague qui casse à vos pieds crée une série de bordures pétillantes ou dentelées qui animent le premier plan et donnent de la matière.
La mer et les vagues présentent un intérêt certain depuis la côte. Les détails de l’eau qui frappe les rochers ou les digues sont parfois grandioses.
Dès l’instant où vous optez pour un tel angle de vue, les thèmes se mutiplient et vous conciliez le plaisir de rendre l’eau et celui de décrire la côte.
Effets de brume, de vent et de reflets
Les effets peuvent s’échelonner du plus calme au plus violent, du plus sombre au plus clair, du plus nu au plus chargé.
Homer
Voici quelques thèmes à envisager :
La côte à marée basse avec les rochers encore brillants et les creux remplis d’eau réfléchissante.
Les digues frappées par l’eau en furie qui arrose tout sur son passage et blanchit les pierres les plus noires.
Les maisons de pêcheurs qui se reflètent dans l’eau tranquille du soir.
Les ports de pêche, les phares, les cabines de plages.
Ailleurs les palmiers hauts, les cocotiers, les végétations folles.
En voilà des sujets agréables où la mer est présente !
Vues sous l’eau
Le côté magique des vues sous l’eau n’a pas échappé à un certain nombre d’illustrateurs. Rendre cette ambiance sous-marine est un bel exercice.
Vingt-mille lieues sous les mers – Jules Verne Gravure de Neuville et Riou
L’eau n’ayant pas de couleur en soi, c’est le filtrage de la lumière et l’organisation du sujet qui va faire sentir l’eau. Vous ne ferez pas d’ombres portées dans les profondeurs, tout au plus une ombre diffuse. Un lignage approprié dans la masse de l’eau ou une série de frisures claires peuvent suggérer la frontière entre l’air et l’eau ainsi que la réverbération.
Les graveurs étaient assez habiles dans cette technique. On voit ici ces plissements de la surface d’eau qui accrochent la lumière du jour au “plafond”. Il s’agit ici plutôt d’une convention que d’une représentation réaliste.
Vingt-mille lieues sous les mers – Jules Verne Gravure de Neuville et Riou
En dehors de ces effets de frisure que vous ferez très clairs, l’eau doit être de plus en plus foncée au fur et à mesure que sa profondeur augmente. Il faut comprendre ce mot profondeur comme l’épaisseur d’eau que le regard traverse, dans n’importe quelle direction.
Si vous représentez un fond marin de sable clair, c’est ce sable qui sera la surface la plus claire en dehors des reflets solaires sur la surface.
Les personnages, objets entre deux eaux, ou animaux qui se déplacent dans cet élément fluide et dense à la fois, doivent avoir une attitude réaliste. On ne court pas sous l’eau, on s’y déplace lentement, l’épave descend sans à-coups. Les phénomènes d’accélération sont réduits à peu de chose. Attachez-vous à savoir rendre avec soin ces vues profondes et silencieuses.
Roland Cat – Tous droits réservés
Dans les années 70, une galerie du Quartier Latin à Paris fit connaître Roland Cat. Il aimait particulièrement les vues sous-marines imaginaires. Je regrette infiniment qu’on ait autant de mal à voir son travail en vrai. Je prends la liberté de reproduire l’une de ses oeuvres en réservant ses droits.
On remonte à la surface, vous plongerez votre orteil dans l’eau froide et plus si l’eau est bonne, c’est dans l’Atelier Pratique que cela se passe…
Atelier Pratique
Ayant regardé la mer et les vagues avec beaucoup d’attention, il faut trouver une organisation de travail pour réaliser la composition.
L’analyse visuelle étant faite, vous allez pouvoir tracer votre trame.
Il s’agit bien d’une véritable trame, d’une sorte de grille.
J’illustre ici l’idée d’une mer légèrement formée. A vous de reprendre l’idée avec une mer plus calme ou au contraire plus agitée.
Tracez votre ligne d’horizon. Situez votre ligne d’horizon pas trop haute. Rappelez-vous que couper votre dessin en deux parties égales serait un choix malheureux.
Placez un premier point comme vous placeriez un point de fuite.
Définition des grandes directions
Dessinez des fuyantes vers le point placé dans l’étape précédente. Voyez comme ici les lignes parallèles “tournent” à 90° de la ligne d’horizon. Ces lignes seront les guides des grandes ondulations. Celles que suivent les rouleaux.
Tracez maintenant des fuyantes vers un point situé hors de la feuille. Espacez-les de moins en moins au fur et à mesure qu’elles s’éloignent vers l’horizon. Votre trame est prête.
Attention : Ne confondez pas cette opération préparatoire avec une construction en perspective comme celle qui prépare l’exécution d’un dallage.
D’une part nous sommes dans un travail sur une matière non géométrique, d’autre part, la règle qui en émane semble une loi de la nature oscillant entre l’organisation et la désorganisation. Une notion passionnante dans le domaine de l’art. Theodor Schwenk a écrit sur le sujet Le chaos sensible.
Tenez votre crayon de manière nonchalante et sans appuyer, revenez sur les fuyantes de votre grille pour évoquer les vagues. Ondulez le trait à main levée en ayant des ondulations plus courtes au loin en A qu’au premier plan en B.
Ne faites rien sur la deuxième série de lignes pour l’instant.
Revenez une deuxième fois sur ces ondulations en décalant légèrement l’ondulation pour évoquer l’ourlet d’écume qui borde la crête des vagues.
Maintenant marquez légèrement la forme du creux des vagues en vous guidant sur les autres fuyantes, mais sans les suivre servilement.
Votre trame est prête, mais vous percevez cet effet d’écaille qui doit être maintenant brisé. Il sera utile de faire uniquement sentir la trame sans qu’on puisse la “lire” explicitement.
Avec un crayon plus gras et plus épais vous allez ensuite casser la ligne d’horizon. Faites monter quelques vagues assez haut pour l’interrompre.
Evitez de briser la ligne d’horizon uniquement aux deux extrémités. Cela manquerait de naturel. Vous constatez déjà que la trame disparait tout en restant présente dans la structure.
Puis vous revenez sur votre dessin et décalez de temps à autres une vague de sa position initialement prévue sur votre grille. Ne soyez pas systématique, c’est juste le contraire qui est recherché. Laissez votre crayon vous mener en dehors de la case prévue. Pensez à autre chose. Sentez les rythmes.
Une première mise en valeur va contribuer à faire sentir cette organisation chaotique.
Ici, il m’a semblé indispensable de placer les masses de valeurs du ciel et d’estomper légèrement les valeurs placées sur les vagues. Cette étape faite très sommairement me donnera la référence tonale pour l’eau.
Revenez ensuite sur les vagues et travaillez un peu plus leur forme et leur tonalité. L’une monte, l’autre s’enroule et celle-ci se brise. Inspirez-vous des formes de l’une pour en dessiner les petites soeurs, diminuant de taille vers l’horizon, mais ne les clônez pas.
Revenez à nouveau et placez les teintes d’ombre et de lumière de manière un peu plus marquée, en laissant le papier intact aux endroits où l’écume se forme.
Utilisez la gomme ou la gouache au besoin pour revenir au blanc le plus pur possible dans les reflets de soleil ou sur les crêtes d’écume.
On résiste difficilement au plaisir de rendre ces effets de cascades blanches ou de dentelle qui tranchent si agréablement sur les tons foncés de l’eau profonde.
Curiosités
Les chevaux de Neptune
Les chevaux de Neptune, de Walter Crane
Walter Crane
Walter Crane est célèbre pour ses superbes illustrations pour les enfants.
Il est parfois considéré comme le père des livres en couleur pour le jeune public.
Il fut extrêmement demandé par les éditeurs de livres pour enfants dans les
années 1860, car il avait réussi une collaboration avec l’imprimeur Edmund Evans
avec lequel ils atteignirent des coloris rarement aussi éclatants, à l’époque.
© expired
Dessins à Faire
A vos crayons !
Vous trouverez toujours des dessins à faire ou des exercices à votre disposition dans cette rubrique. Les modèles sont aussi des documents qui vous permettent des expériences supplémentaires.
Vous pouvez uploader votre dessin dans les galeries. Vos dessins seront vus par les autres membres et les tuteurs qui pourront, dans certains cas publier une correction s’ils jugent qu’elle peut être utile à tous. Mais cela n’est pas systématique.
Dessins à Faire et à conserver ou publier
DAF-116-1
Dessinez la mer
DAF-116-2
Dessinez la mer
Dessins facultatifs à conserver
FAC-116-1
Dessinez la mer
FAC-116-2
Dessinez la mer
Prochainement
Votre prochain module
Une certaine connaissance des muscles du visage vous aidera beaucoup dans la réalisation de vos portraits ou même de visages imaginaires.
Pas question ici de se prendre pour des scientifiques. Nous restons des dessinateurs qui voyons ce que les autres ne voient pas toujours.
Matériel à prévoir
Voyez dans cette rubrique le matériel dont vous aurez besoin prochainement.
Ceci vous permet de vous organiser.
Pas de nouveau matériel
à prévoir dans les prochains jours…
Pour l’instant le matériel déjà en votre possession est suffisant pour les prochains modules. Veillez simplement à le renouveler et le garder en bon état. Vous serez prévenus dès qu’il faudra vous équiper de matériel supplémentaire mais vous aurez largement le temps de vous le procurer.
Correction
Correction générique du DAF-220-1
“Le canon de la tête (2)”
Il est plus intéressant que les corrections soient visibles après que vous ayez eu le temps de finir votre DAF. Voilà pourquoi vous trouvez ici la correction d’un DAF antérieur.
Conservez un double de vos images chez vous, c’est plus sûr !
Ne mettez ici que les images de vos DAF ou de vos FAC
Vous devez être connecté pour soumettre une image pour le concours. Connexion ouinscrivez-vous.
Conservez un double de vos images chez vous, c’est plus sûr !
Ne mettez ici que les dessins destinés à la Galerie des Membres.
Vous devez être connecté pour soumettre une image pour le concours. Connexion ouinscrivez-vous.
En principe vous trouvez ici tous vos dessins mis en galeries ou en attente de validation.
Il sont aussi accessibles dans une galerie plus confortable dans votre menu Espace Membre/Ma Galerie Perso
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